Il y a quinze ans, Télérama traitaient l'animation japonaise de ramassis de bêtises pour idiots congénitaux, pour pédophiles abrutis par des "japoniaiseries".
Et aujourd'hui ça se permet de faire un dossier et une couverture sur Miyazaki comme si de rien n'était, comme si les chefs-d'œuvres de ce même Miyazaki n'étaient pas sortis en salles en France pendant vingt ans précisément à cause de gens qui pensent comme Télérama.