Donc ça, ça s'appelle Casshern.

Si c'est pour admirer les archanges
Instaurer la dictature du désespoir
Détruire vos paix et les songes
S'éveiller dans une oeuvre de gloire
Ce qui vit doit mourir
Et ce qui meurt doit être beau

Depuis le temps que je vous en parle de cette foutue Durance et du documentaire qui me hanta jours et nuits à la création de ce blog, cette source de fatigues, colères, joies, satisfactions, conflits, voyages, engueulades, désespoir, découvertes...
Et bien c'est L'Eau Transportée, et c'est disponible ICI.
Quand je pense à tout ce que l'on a fait depuis juin dernier pour en arriver à ces 16 petites minutes...

Dimanche soir, j'ai subi Starsky & Hutch au cinéma, une bouse pas drôle. La mise en scène est à se pendre (pas une seule séquence n'est filmée comme il faut), le scénar à chier (quelqu'un peut me dire à quoi sert la scène chez Huggy avec l'iguane ?), la musique, à chier, réussit l'exploit d'être une BO seventies pas funky du tout, les gags sont à chier (le gros black qui sait tout, piqué chez les frères Farelly, et mal fait en plus), les séquences délirantes sont à chier (le trip à la coco le moins fun l'histoire du cinéma), les poursuites sont à chier (je trippe mieux quand je regarde mon cousin de six ans jouer à Vice City).
Bref, si vous voulez aller voir ce film, mettez un bouchon anal.